| | Origine ▲ (O. De Fontanges) | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: Origine ▲ (O. De Fontanges) Mer 19 Nov - 2:24 | |
| Ourzal De Fontanges « A cœurs sanglant, tout vacille. » NOM DE FAMILLE: Les De Fontanges, une famille noble, vassales des illustres De Landore, ma famille est réputée, connue pour son courage sans borne et son honneur auquel pour rien au monde on ne voudrait faire défaut. Nos valeurs rythment nos coeus, à coeur vaillant rien impossible. PRÉNOM(S): Ourzal. Je me nomme Ourzal. Ce prénom comparé aux traditions n'est pas emprunté d'un de mes ancêtres, non aucunement. Pour les fanatiques de l'étymologie (c'est-à-dire juste moi en fait...) Ourzal signifie « Antagoniste » dans le sens adversaire, opposé. ÂGE: Je ne suis pas le plus vieux de ma lignée, mais je suis le plus vieux mâle. 32 ans pour être plus juste. Ni trop jeune, ni trop vieux. L'âge idéal de l'époque. LIEU DE NAISSANCE: Mon lieu de naissance n'est pas commune à celle des De Fontages qui ont pour tradition de naître dans notre demeure. Non je suis né au fin fond de la campagne bretonne, loin des grandes villes, proche de la boue. CLASSE SOCIALE: Appartenant à une famille vassale de De Landore, je ne peux être qu'issue de la noblesse. ASCENDANCE: De sang-pur naturellement... je pense. SITUATION MARITALE: Célibataire, je pense que lorsque nous sommes à la garde de Trecesson, il nous faut n'avoir aucune attache amoureuse. DEMEURE: Je fus dans la demeure de Lancelot. BAGUETTE: Ma baguette n'est pas commune. Son bois est ordinaire, du hêtre, qui me convient parfaitement. Elle est élégante, de couleur crème légèrement ternis ayant pour mesure 25 centimètre et douée d'une souplesse plus développée que la moyenne. L'étrangeté de ma baguette se situe en son coeur qui n'est pas commun et de ce que produit ce coeur. En effet, le coeur de ma baguette est composé de feuilles de thé, feuille encore rare dans nos contrées. Mes sorts en sont principalement affectés car une odeur s'en dégage fréquemment. Une odeur végétale le plus souvent, qui selon l'humeur et la nature du sort prendra une essence différente. Elle est également beaucoup plus adroite dans la manipulation végétale comme les racines ou les arbres. PATRONUS: La Dame Blanche... autrement nommée la Chouette Effraie. Elle est la prédatrice de la nuit, se tenant dans l'ombre, droite et élégante et fondant silencieusement sur son adversaire pour lui ôter la vie . Comme mes pas dans le château de Trecesson, elle est le fantôme des nuits. EPOUVANTARD: Son épée rouillée plantée dans une terre aride, désolée. Une hermine blanche aux yeux moqueurs est enroulée autour de la lame, me fixe. PARTICULARITÉ SPÉCIALE: Imprégné des Hermines, pouvoir non contrôlé, non discerné. Pour plus d'information c'est ici Le miroir de Viviane Dans cette section vous insérerez les tics et manies de votre personnage. Vous n'êtes pas obligé de faire vingts points, ou de mettre beaucoup de ligne. Seulement quelques information sur votre personnage qui sont bonne à savoir. Par exemple, dites ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas, ce qu'il sait sur son passé, sur ces traits de caractère (défauts, qualités), sur sa famille, sur ces relations amoureuses; bref il y en a beaucoup. Un minimum de six points sont demandé. - Dans cette section vous insérerez les tics et manies de votre personnage. Vous n'êtes pas obligé de faire vingts points, ou de mettre beaucoup de ligne. Seulement quelques information sur votre personnage qui sont bonne à savoir. Par exemple, dites ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas, ce qu'il sait sur son passé, sur ces traits de caractère (défauts, qualités), sur sa famille, sur ces relations amoureuses; bref il y en a beaucoup. Un minimum de six points sont demandé.
Sous la cape de Merlin QUELLE IMPORTANCE ACCORDEZ-VOUS A L'ASCENDANCES DES SORCIERS, AU STATUT DU SANG ? Pour les personnages issues de familles prédéfinies, il est impératif de respecter l'idéologie de ces dernières. réponse ici, n'hésitez pas à développer la pensée de votre personnage à ce sujet. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. QUE PENSEZ-VOUS DES MOLDUS, DE LA CHASSE AUX SORCIÈRES ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?N'oubliez pas que c'est une époque sombre où la chasse aux sorcières est présente. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. AVIEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DU CERCLE DE PRYTWEN ? QU'EN PENSEZ-VOUS ? Rendez-vous par-là pour en connaitre le rôle de cette secte. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. QUE PENSEZ-VOUS D'HONORENSE DE TREVEC ? REMPLIE-T-ELLE BIEN SON RÔLE DE DIRECTRICE ? Rendez-vous ici-même pour en connaitre un peu plus sur Honorense. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. - Spoiler:
PSEUDO & PRÉNOM: Northern Light & Rémy (toujours une question de famille...) ÂGE: 17 ans ! Dans un an, j'aurais le droit de ne pas passer le permis ! REGION: Bretagne wesh. DISPONIBILITÉ SUR LE FORUM: Celle d'un Terminal L : tout le temps. COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVE ICI ? Bah c'est un come back... Amara me manquait beaucoup. Et les autres... un peu. UN AVIS SUR LE FORUM ? Les gens sont pas gentils, ils parlent trop fort ;_; . AVATAR: Tom Mison. PERSONNAGE: Inventé mais provenant d'une famille existante. CREDITS: Ma source est tumblr. DERNIER MOT ? Le propriétaire de la Clio jaune canaris devant chez moi est prié de dégager mon allée.
|
| | |
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) Mer 19 Nov - 2:25 | |
| LE CHANT DES SIRENES Vole, vole, plus haut, encore ! Plus haut ! Maintenant chute.      Regarde bien ton royaume, Ourzal., celui à la surface de ton coeur. Il ne t'appartient pas, il ne t'a jamais appartenu.
   Contemplons un instant mon histoire, ma vie, l'échelle que j'ai gravis. Ma table est de chair, de frivolités culinaires et de délices savoureux. Mon armure est d'argent orné d'or, mon épée est brave et anime ma main de sa force. Mon lit est de plume, de rêve pieux envers mes dieux, loin du plaisir de la chair, déshumanisant à mon goût. Les rideaux qui ornent ma chambre son lourd, épais et doux, ils sont la chaleur de la pièce. Ma réputation honore ma famille, mes sœurs, mes parents. Ma santé se lit sur mon ventre tendu, construit, aucunement creusé ni gonflé par l'affreuse gourmandise. Ma chevelure est une crinière, une preuve que le lion chante le soir venu, qu'il est à la valeur de sa vie : beau. Mon visage est mon allié et non mon ennemie. Les grimaces ne le froissent que rarement, les grognements roques et parfois paillards n'ont pas leur place sur les fissures du temps qui brise lentement l'innocence de ce tendre visage.    Je suis un De Fontanges. Droit, noble, au service des De Landore, au cœur pur et de lumière. Je suis l’aîné mâle de ma famille, celui au buste bombé et fier doté du regard infaillible.
     « A cœurs vaillant, rien impossible. » , à coeurs sanglant, tout vacille.
   L'eau chaude caressait ma peau. Elle était la main douce qui se permettait de glisser le long de mon ventre, dénudé. Elle était la seule qui pouvait enivrer mes sens, leur susurrait toute la luxure qu'elle m'inspirait. Elle savait déposer des baisers sur mes cuisses, faire frissonner mon torse sans armure. Elle savait me pénétrer, de tous les ports de ma peau . Cette douceur, cette tendresse, cette collation du guerrier tâtonnant ses courbatures, ses blessures et léchant sa force avec provocation. Cette eau, cette nymphe irréelle dont les mains se propagent entre mes jambes, remontant le long de mon torse pour mordiller mon cou. Je la sentais, je ne pouvais que soupirer sous son touché. Sous sa peau liquéfiée et chaude, chaleureuse. Mon cœur ralentissait, mes muscles se laissaient bercer par sa tendre mélodie qui se faufile entre mes cuisses et les frissons qui y coulissent. Elle était la seule, la seule qui se permettait de glisser ses doigts contre ce désir éteint, contre cette organe de chair qui façonne la vie dans un plaisir. Plus sensuelle qu'une femme, moins désireux qu'un homme, elle se moquait de ma puissance, de mon honneur. Non, tout ce qu'elle désirait était mon corps, ce corps, qu'importe ses faiblesses, elle était le réconfort. Sa vapeur endormait mes rêves, la nuque se raidissant. Mes bras hors de leur corps étaient glacés par l'air et le rebord de la luxueuse baignoire. La baguette que je détenais entre mes doigts dégageait cette odeur apaisante, une odeur sucrée mêlée à une feuille de thé languissant dans de la rosée préalablement chauffée.    Mon soupire était un soupire de bonheur sous la fellation humide. Je perdais ma conscience, je perdais ma raison, ma pensée. J'étais nu, faible, entre les doigts de l'eau immortelle.    Mon imaginaire glissa le long de la pente de la somnolence. Mon passé s'ouvrit à mes yeux tel un rêve. Le sourire de ma sœur bien aimée de la veille ou encore la caresse de ma mère contre ma douche chevelure murmurant à mon oreille que je suis son coeur, son enfant, sa raison de vivre. Le sourire de mon père, fier de son fils. Les applaudissements de la garde pour leur nouveau sous-capitaine. Le sourire d'Elvann quand elle vit son ami se hisser, elle m'était proche après tout. Une jeune femme de talent ayant un jumeau qui rivalise son talent. Je sentais leur amour, leur admiration réchauffer mes os, ma chair. Un sourire osa se dresser sur mon visage lorsque le souvenir des doigts agaçants d'Amara se faufilant dans mes cheveux, prétextant qu'un garde de Trecesson, surtout sous-capitaine, devait faire attention à sa crinière pour flâner devant les autres lions. Sa voix qui me susurre dans un sourire s'amusant de mes principes, de mon respect et ma distance.    Je ressens le monde qui se soumet à mes pieds. Une force colossale, une fierté abyssale. Je suis le feu ardent qui forge l'épée, qui l'aiguise, qui la rend puissante.    Je ressens... la...    Je ressens...     TU RESSENS TON MENSONGE !   Je perds pieds, l'eau m'engouffre. MENTEUR ! TU N'AS JAMAIS APPARTENU A CE MONDE !    Tout brule, mes mains ne détiennent plus rien. Mon épée se fane et mon cœur s'affole. L'eau s'engouffre dans mes bronches et mon corps se dérobe. Tu te mens, mens toi encore et encore stupide Ourzal ! La baguette tombe avec fracas sur le sol. Je tombe dans ces souvenirs, ces souvenirs qui ne m'appartiennent plus. L'eau glacial me mord la peau, elle me griffe le dos et viole mon corps sans retenus. Mes poumons s'étouffent tandis que mes rêves se désagrègent en cauchemars. Ils ne sont pas tes parents, ce ne sont pas ta famille. Mensonge, mensonge et encore mensonge.    Je suis l'animal, grimpant sur mon corps, autrefois. Je suis l'animal, se faufilant sur ma peau, autrefois. La faim rongeait nos côtes. Nos côtes ? Ca recommence. Mes doigts tremblent sous la pluie, sous la fatigue. Tu avais... J'avais atteint mes cinq ans. Dans la rue, dans la boue. Sans parents, sans or, sans sourire, sans rire, sans Amara pour se rire de ma moral, sans Elvann pour me saluer avec respect lorsque le jour s'élève. Sans personne.    Le cœur de lion s'affole, il perd sa crinière, sa majesté et retombe rampé d'où il s'est échappé. Vois ce que tu étais, Ourzal. J'entends des pleurs, des hurlements, la poussière taquiner mes doigts. Du sang emplis ma bouche. Tu étais la vermine que nous mangeons, je vois cette scène. Je galope sur le plancher plein de foin à l'odeur nauséabonde. Je monte les poutres, agacés par les pleurs de cette humaine. Mon reflet, je l'observe un instant, d'un coup d’œil. Je vois mon pelage blanchis, pure.    Etrangle toi dans ta salive, Ourzal. Tu n'appartiens pas à ce monde, ce ne sont pas tes origines, ce ne sont pas tes parents, ce n'est pas ta morale, ton honneur, ta vie. Tu n'es que le produit de la luxure qu'on ne peut contrôler.
   Il l'a baisé, Ourzal. Et il a aimé ça. Mais il ne te jamais accepté, parce qu'à cause de toi, il ne pouvait plus la baiser.    La haine se répend dans mes veines, la colère. Je hurle. Ma voix raisonne dans mon âme, dans mon rêve, dans mon être. Mes muscles tremblent, tandis que je vois cette humaine, anormalement déformé et grosse, était couchée sur le sol, les jambes écartées, hurlant de douleur, appelant la mort. Les larmes et le sang se répandant sur le sol. Qu'ils sont laids.    Mon corps se tord de douleur, j'ai mal. Mon cerveau implose, mes yeux me brûlent et mes membres se consument. Mes griffes se resserrent, je voyage encore, m'approchant des la créature. Intrigué par cette morbidité. Elle voulait mourire, elle voulait périr dans cette souffrance irréel. Elle souffrait, son corps se déchirait en deux. Le démon semblait rire en elle.     Où est ton honneur, tes petites valeurs et vertus à présent ? ELLES SONT MORTES ! Comme cette humaine. Des cris d'enfant, une petite créature rose, criant, pleurant, sortant avec mauvais goût de sa mère. Etalant un peu plus le sang au sol et rajoutant un peu d'horreur dans ce monde. Il était moche, horrible, gluant, comme un asticot nu rampant. Il l'a tué.    Il a tué sa mère. Je la voyais perdre sa misérable vie, tandis qu'une autre s'éveillait, moins jolie. Avec ce lien, ce morceau de chair pendant, dégoûtant. Et l'autre était horrifié, devant ce spectacle.    SORTEZ DE MA TETE SOUVENIRS ! Je me débats dans l'eau gelé, je déplie mon bras tout en continuant de hurler.Il n'y a plus de fond, ni même de surface. Je me noie dans ce démon qui m'avait séduit. La sirène avait cessé de chanter et à présent, dévorer mon âme, mon cœur et en profitait pour m'abuser. Mon épée, elle n'est plus dans ma main. Tout comme ma baguette. Je suis sans armure, sans bouclier, nu. A la merci de sa bouche et de ses crocs affamés. Je serre les poings et hurle une nouvelle fois ma colère...    Les images défilent, encore et encore. Mes organes implosent... « Ourzal. » et mon cœur s'arrête.     Je surgis de la baignoire, serrant la baguette entre mes doigts et hurlant contre le fantôme des pierres : « LUMOS SOLEM ! ». Un puissant flash de lumière frappa la pièce, faisant tomber quelques roches du plafond. J'étais à présent assis. Seul. Dans ce bain, mon buste se soulevant sous ma respiration paniqué. J'avais entendu sa voix. J'avais vu sa silouhette. Son murmure était un monstre qui se faufilait dans mon esprit et dévorer mes souvenirs. Ce n'était qu'un rêve. Qu'un rêve... Non. C'était bien plus que ça. J'avais aperçus ce bambin... Oui, dans ses bras. J'avais apperçus ses yeux.    J'avais aperçus Ourzal. AB ORIGINE FIDELIS |
| | | L'ingéniosité du renard
Parchemins : 259 Pseudo : Ilmarë (anna) Avatar : Natalie Dormer. Disponibilité : 7/7 jours (RP 4/4). Amortentia : une odeur ambrée et puissante, boisée et résineuse, mystique, narcotique...
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) Mer 19 Nov - 2:35 | |
| |
| | | La grâce du cygne
Parchemins : 358 Pseudo : riddermark (florence) Avatar : katie mcgrath Disponibilité : totale Amortentia : une odeur entêtante de feu de bois, de papier brûlé et de cuir.
| | | | Les protecteurs de Brocéliande
Parchemins : 152 Pseudo : Areo (Camille) Avatar : Bridget Regan Disponibilité : 5/7 jours. Amortentia : L'odeur d'une épée fraîchement aiguisée, une odeur parfois épicée ou un parfum de la nature qui envoûte ses narines.
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) Mer 19 Nov - 22:33 | |
| |
| | | La grâce du cygne
Parchemins : 227 Pseudo : Elynore Avatar : Sarah Bolger Disponibilité : le plus souvent possible Amortentia : Une odeur bien particulière monte et submerge les narrines d'Elynore. C'est un mélange de l'odeur des chevaux, de la pluie ou plus exactement de la forêt juste avant une averse et une odeur sur laquelle elle n'arrive pas encore à mettre de mot. Age : 32
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) Mer 19 Nov - 23:44 | |
| Yeahhhhhhhhhh !! Trop contente de la voir enfin Zal |
| | | La grâce du cygne
Parchemins : 358 Pseudo : riddermark (florence) Avatar : katie mcgrath Disponibilité : totale Amortentia : une odeur entêtante de feu de bois, de papier brûlé et de cuir.
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) Dim 4 Jan - 12:11 | |
| Il faut songer à finir sa fiche... Le délai a été bien important |
| | |
| Sujet: Re: Origine ▲ (O. De Fontanges) | |
| |
| | | | Origine ▲ (O. De Fontanges) | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |