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 Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité

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MessageSujet: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:20

Jocaste de Mortrange

θάνατος οὐδὲν διαφέρει τοῦ ζῆν
NOM DE FAMILLE: les vagues, amères maitresses des perfides océans, rouges d’un vin, élixir de Dionysos, étouffent les cris présomptueux de ses sirènes pernicieuses...de ces ancêtres. Ces femmes, chair de Médée, sang d’Egée, elles criaient toutes le nom des Μήδειαιδε. Ce titre qu’on avait profané par un vernis de Mortrange. PRÉNOM(S): une mimésis...la symphonie des passions humaines hantant son enveloppe charnelle, si éphémère et abimée, elle n’est que la symbolique de l’hybris : Jocaste, mère et épouse tour à tour d’Œdipe. La fatalité s’évanouissait en une fumée abondante d’Opium et de vapeurs de rose dans son cœur aux battements abandonnés. ÂGE: voilà trente-neuf ans que ses pieds trainent sur ces sols ensanglantés d’où la vie a reprit sa furieuse valse. LIEU DE NAISSANCE: il y avait cette cité, lieu de bataille d’orgueil des divinités, elles si aveuglées par un pouvoir qu’elles consumaient avec délice et passion. Il y avait cette terre ayant été le désir d’Athéna et de Poséïdon, cette envie de puissance s’était érigée en eux comme les colonnes d’Hercules se levaient si fièrement. Athènes, voilà d’où vient la chuchoteuse des serpents, la cavalières des mers du crépuscule solaire. CLASSE SOCIALE: c’est bien de l’or qui ruissèle à ses cheveux aussi bruns que la carcasse de cette Terre, c’est bien de l’or tombant en cascade de ses mains affinées par la ruse de ses touchers, c’est bien de l’or qui nourrit sa folie meurtrière...c’est bien de l’or qui éveille en elle, la vieille malédiction de son aïeul. Son reflet n’est que richesse, mais elle est plus creuse même qu’une statue de fer blanc. Elle souhaitait la gloire, elle n’avait en vérité, que la contre-image d’une famille endettée. ASCENDANCE: aucun alcool impur n’enivrera les nocturnes amours des reins royaux. PROFESSION: selle avait ce don de porter un poignard comme une délicate fleur, cette magie d’enflammer les mots les plus venimeux en des berceuses cendreuses, ce talent de voiler de mousseline d’argent des regards taciturnes...professeur de bienséance est-elle, assassin des valeurs qu’elle prône dans ses cours de noblesse afin de brûler l'ennui. SITUATION MARITALE: veuve de cœur, veuve de couche, veuve d’esprit. Veuve enflammée de couleurs vivaces rayonnant ses nobles tissus. DEMEURE: elle reçu l’éducation d’une jeune fille de son rang, le savoir des Μήδειαιδε ne se déverse que de la bouche des sirènes de la famille. Aussi aucune école n’a eut l’honneur de l’accueillir, pourtant, elle en est certaine, elle aurait été une parfaite Morgane dans ce système étranger. BAGUETTE: Dionysos ne sut se dérober à elle...parfois pour de mauvaises conditions, parfois l’ivresse était la seule chose qui lui restait à faire, mais parfois, il était là, se tenant fièrement en elle...se jouant de son honneur et de sa force, embrassant ses mains, ses doigts, fins et longs. Vigne, voilà le bois de sa baguette, ce petit bout de divinité qu’elle volait aux Cieux entier, de trente centimètre, à l’image de son orgueil, plutôt rigide tout comme la droiture de ses postures de féline...et dans son creux, une larme d’Océanide, de ces Déesses déchues par la lumière de leurs yeux, ruisselait encore son incomprise mélancolie. Le tout est sculpté, avec une justesse parfaite, de gouttes parsemant le spectre de sa magie assombrie. PATRONUS: ses hurlements dévorent le cœur de n’importe quel homme...aussi son patronus se révèle être un lion. Pour sa majesté et son règne éternel l’interprète-t-elle. EPOUVANTARD: son beau corps se détachait du chaos que ses mains d’homme avait généré. Comme un roi, il se tenait sur son propre trône, celui qui l’a vu, elle, conquérir les âmes une par une, qui l’a vu, elle, les voir tomber aussi...une par une. A présent, elle était l’âme en question, et lui...lui son fils, suprême et arrogant, jetait les dés de son existence dans la gueule des chimères perfides. PARTICULARITÉ SPÉCIALE: aucune...si ce n’est son habile esprit. (à voir pour métamorphomage) .
Le miroir de Viviane
« Somethin' filled up
My heart with nothin',
Someone told me not to cry.
Now that I'm older,
My heart's colder,
And I can see that it's a lie. »
۞ Δανσες Ενδιαβλης danses endiablés
Thyade...elle avait cette âme-ci, celle d’une enfant dont le goût du vin enivra les sens et la raison. Prêtresse du Grand Dionysos, Dieu de sa naissance, qui de ses mains rouges par le séduisant liquide découlant de sa coupe d’or, signa le front du bambin innocent. Dès lors, elle fut vouée à l’Art des Festivités, au gout de cette liqueur enchantée croisant sa langue dès ses six ans. Dès lors, elle fut promise aux danses endiablées rythmées par les vents contraires des hauts sommets. Jocaste est celle qui se moue tels les serpents lui tenant obscure compagnie, elle est la danseuse préférée des Grands Dieux, celle que tous observent la grâce et la légèreté de ses pas, la pudeur et la sensualité de ses ondulations océaniques.[ /i]
۞ Μυσικες Ενφλαμμης musiques enflammés
[i] Friant de festivités et de banquets, honorant par des sacrifices la gloire de l’Olympe, goutant alors, sur cette Terre aux péchés familiers, la luxure du cortège dionysiaque, Jocaste, en plus de danser pour le plaisir salace des Seigneurs de ces Cieux ombrageux, joue de la lyre. Musicienne aux doigts d’Apollon, elle aime passer du temps à se recueillir dans les symphonies de sa contrée cendreuse. Elle organise souvent des fêtes, cérémonies, où tous les grands de ce monde se retrouvent pour un moment paradisiaque. Elle est d’ailleurs réputée pour ses réceptions luxueuses et fantaisistes où les danses voilent la terrible vérité, où la musique couvre l’écho des terribles cris...[ /i]
۞ Πριερες Ενιvρης prières enivrés
[i] Promise à la Voie Sacrée, au fleuve d’instincts engourdis et charmés, à un monde aux couleurs flamboyantes, la Providence déjoua ses plans innocents...la condamnant à porter les chaines de sa famille, la malédiction de sa lignée. La Fatalité ne l’épargnera pas...tout le monde le sait. Aussi, Jocaste, en tant que dernière prêtresse de cœur d’une religion païenne, sait distribuer son savoir par les prières qu’elle exécute, par les textes de ses aïeuls qu’elle partage. Le savoir de ses ancêtres est ce en quoi elle croit plus que tout au monde, et elle n’hésite pas à offrir ces connaissances aux hommes et femmes de ce pays. Elle est, par ce fait, considérée comme une véritable savante, une philosophe, une mathématicienne et cosmologue à l’image de L’Âge d’Or, l’unique empire qui fait encore frémir d’admiration chaque être : sa Grèce Antique. [ /i]
۞ Βεαυτη Ενvουτη beauté envouté
[i] Il y avait ce mythe courant dans toute l’Europe, cette légende urbaine illuminant les fantaisies sauvages des époux, et consumant la jalousie maladive des épouses. Ce murmure semblant être soufflé par Zeus lui-même, vantant la beauté, la magnifique beauté, des Médéaïdes. De ces femmes aspirant le respect, la peur même, car rien n’est plus dangereux qu’une femme n’ayant aucunement besoin de l’approbation d’un mâle afin de subvenir à ses envies infernales, à ses besoins naturels de mortelle : la conquête. Si leur intelligence n’avait aucune limite, si leur éducation était un secret bien gardé, si leur ruse était leur arme favorite, leur masque, lui, semblait être celui des statues de marbres. Un visage parfait, des pommettes hautes et roses comme les bourgeons des roses printanières, un nez droit et non proéminant, des lèvres tantôt aussi pulpeuses que la chair d’un nourrisson, tantôt aussi fines qu’un sourire, une chevelure dense et onduleuse, mais surtout, surtout ce regard, gouffres des rôles qu’elles endossent. Vous pouvez en croiser des innocentes, des yeux de biches et flamboyants de milliers d’étoiles, comme vous pouvez rencontrer les sirènes, séductrices infâmes aux iris enflammées et déroutantes. Elles étaient toutes envoutantes, toutes plus exquises les unes que les autres, et Jocaste, n’échappa pas à ce don d’Aphrodite elle-même.[ /i]
۞ Ιvρεσσε Εμβραση ivresse embrasé
[i] Il semblerait que la sève d’une vigne sacrée coule dans ses veines ! Ses lèvres sont aussi rouges que la couleur profonde de cette liqueur de jouvence, ses yeux aussi pétillants que ceux des Dieux tout Puissants, ses rires aussi aériens que ceux des bienheureux. Jamais ne se passe-t-elle de vin, jamais ne peut-elle refuser l’ivresse d’une nuit, la caresse voluptueuse et chaleureuse de ce liquide sous ses draps de satin gelé. Jamais ne peut-elle se passer de ces baisers alcoolisés reposant son esprit perturbé et miteux. Rien n’est plus beau que de voir son cœur battre une mélopée rêveuse, rien n’est plus beau que de la voir se révéler sous son véritable jour : l’enfant rieuse ayant grandi trop vite.[ /i]
۞ Αμουρ Εντερρη amour enterré
[i] Elle se rappelait encore, ces longues nuits qu’il passait dans son lit, écoutant attentivement les mythes qu’elle lui racontait. Elle se rappelait encore comment ses paupières frémissaient quand Morphée venait enfin le bercer dans ses bras, mais sa lutte pour entendre la fin de l’histoire était des plus fortes. Elle se rappelait encore de l’écho de ses rires croisant les bruits de ses pas dans la demeure de Mortrange. Elle se souvenait encore, comment, pour la dernière fois, il était venu s’allonger auprès d’elle, lui tout ensanglanté et perdu comme un pauvre petit agneau, cherchant le réconfort, la chaleur de ses bras bienveillants. UC

۞ Πουvοιρ Ενλαcη pouvoir enlacé
[i] BALABALABAABAMAHALAHA[ /i]

Sous la cape de Merlin
QUELLE IMPORTANCE ACCORDEZ-VOUS A L'ASCENDANCES DES SORCIERS, AU STATUT DU SANG ? Pour les personnages issues de familles prédéfinies, il est impératif de respecter l'idéologie de ces dernières. réponse ici, n'hésitez pas à développer la pensée de votre personnage à ce sujet. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

QUE PENSEZ-VOUS DES MOLDUS, DE LA CHASSE AUX SORCIÈRES ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
N'oubliez pas que c'est une époque sombre où la chasse aux sorcières est présente. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

AVIEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DU CERCLE DE PRYTWEN ? QU'EN PENSEZ-VOUS ? Rendez-vous par-là pour en connaitre le rôle de cette secte. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

QUE PENSEZ-VOUS D'HONORENSE DE TREVEC ? REMPLIE-T-ELLE BIEN SON RÔLE DE DIRECTRICE ? Rendez-vous ici-même pour en connaitre un peu plus sur Honorense. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:23

Aνcιεντ Hυμνς

I hear the passing of mysteries and the breathing of monsters


« Les dieux nous envient parce que nous sommes mortels, parce que chacun de nos instants peut être le dernier et que tout est beaucoup plus beau car nous sommes condamnés. »
Racontez ici l'histoire de votre personnage. De sa naissance à aujourd'hui, en 600 mots minimum. Vous pouvez utiliser la forme que vous souhaitez, que ce soit des anecdotes, une chronologie, sous forme de journal, de correspondances ou des témoignages extérieurs. N'hésitez surtout pas à bien développer chaque partie qui vous semble importante, en tenant compte du contexte de l'époque et des moeurs. N'oubliez pas également de vous relire quitte à utiliser des logiciels de correcteurs orthographiques tels que Bon Patron ou encore Word, il n'est en effet pas très agréable pour les administrateurs et autres membres de lire une fiche remplie de fautes. Enfin, nous tenons à vous rappeler que vous disposez d'un délai d'une semaine pour faire votre fiche, sans quoi cette dernière finira à la corbeille. N'hésitez pas à demander un délai supplémentaire au cas où vous ne pourriez pas finir votre fiche dans les temps. UC

Ca déferlait en elle, comme une tempête se mouvant avec violence sur le corps limpide des naïades effarées. Susurrant en son esprit dérouté, les berceuses les plus brutales...les amères vapeurs d’eau salée rongeant ses yeux stellaires. Usurpatrice des étoiles, constellation indéfinie...Broyée, divaguant, sur une terre trahissant son être capricieux. Orgueilleuse d’une lumière dorée, miroitant sur son masque d’heureuse traitresse. Parente de Circé se retrouvait-elle, au bord de ces falaises, qui, des siècles auparavant, avaient rattrapée, de leurs bras malencontreux, le frêle corps d’une sorcière ébréchée. Ce gouffre, empli d’un acide chaotique, se reflétait dans son regard aux couleurs irisées. Ce profond gouffre dérangé et dérangeant avalant la folie d’un vivant comme Cronos reprenait son repas...comme le temps piétinait sur les jardins de ces mortels. Elle se sentait défaillir, son corset appuyant là où ça faisait mal, là où on était tous si faible. Et les battements lui échappaient...comme une trainée de poussière, ils s’évanouissaient, chevauchant les vents du Styx, se dispersant toujours un peu plus. Elle glissait, la femme reptile, glissait à présent comme un vulgaire jouet, ayant l’impression de s’endormir...de partir dans les bras de ce Morphée, taquin avec elle, depuis quelques nuits. De celui qui se dérobait d’elle comme la lune traversait la nuit sauvage...Il était enfin là, lui tendant sa main, lui offrant cette danse vertigineuse...Il était enfin là, et elle...elle ne pouvait se résoudre à s’y abandonner. Accrochant sa main au bras du fataliste...au joueur consumé, elle préféra l’âpre réalité à un doux sommeil. Enfonçant ses ongles dans l’habit du mâle...de celui qui empestait la fierté viril d’un homme. Ce parfum nuisible, cette odeur répugnante qu’elle dominait avec des tons de jasmins et de miel ornant sa nuque à elle. Elle ne pouvait, seulement, se résoudre à conquérir d’avantage de territoire. Plus maintenant. Plus ainsi. Il était là, le rodeur, le malin ayant attrapé sa proie. Son ultime victoire, il ne la vaudra qu’au tranchant de sa lame...ce bijoux plus précieux qu’effrayant couronnant le cou de sa victime. Mon pauvre Ovide...mon malheureux enfant...Son murmure se perdit dans le vide hanté de la chambre à coucher. Il réussit à s’enfuir en apportant son message au jeune homme ayant attaché, de ses bras tremblants, le corps, le chiffon qu’était sa mère. Il la tenait...dans un dernier enlacement, dans une dernière caresse macabre, devant le tribunal de sa volonté. La menaçant de son arme blanche et resplendissante, vierge de tout crime...lui...il ne l’était plus. Dépucelé avec une haine chimérique des meurtres horrifiants. Ses mains, tellement de fois embrassées, tellement de fois tenues, n’étaient que de vulgaires gants ensanglantés dont il ne pouvait plus se débarrasser. Sa colère avait été de jais, sa première peur excitante...et l’intense moment, l’instant où la dague pénétra dans l’homme engraissé, n’était qu’un souvenir décadent. Qu’une mémoire immolée, qu’un Salut, une prière envolée. Et la femme de Satan, la maudite païenne, celle qui lui avait promit tant de choses, celle qui le rejeta comme un pestiféré par la suite, était ici...contre lui, son dos assiégeant son torse, sa robe aux étoffes luxuriantes embrasant ses pieds, sa main se mêlant à sa taille...à ce bout de chair, qui fut, anciennement sa demeure chaleureuse. Il avait été trompé. Comme un enfant. Comme un ignorant. Il l’avait crut ! Il lui avait fait confiance, savourant ses promesses avec la plus grande des attentions...Observant ses lèvres rougies, par la luxure la dévorant, se mouvoir au son d’une symphonie tentatrice. Il était jeune. Jeune et inconscient. Jeune et aimant. Il l’avait aimé, cette mère...cette catin des incubes, celle qui vendait ses plaisants services aux flammes alléchées par l’immolation de sa pureté. Ses os devaient avoir été engraissés par les péchés...ils étaient lourds, il en était certain, plus lourd que le Ciel d’Atlas. Taisez-vous ! Il resserra son étreinte avec fougue, faisant un peu plus de pression, à l’aide de ce poignard, sur sa gorge. Il ne la laissera plus s’éloigner cette fois-ci. Plus cette fois. Plus ainsi. Elle frémit la bête...il l’avait bien sentit, telle une pucelle frissonnait aux premiers gestes de tendresse. Comme dans une danse passionnée, il la sentait...tous ses mouvements...même les plus faibles. Il ressentait tout contre sa peau incendiée par l’action que ses macabres pensés préparaient. Et plus les secondes lui échappaient...plus il sentait le vide enrichir son être damné. Un sanglot...un sanglot de femelle, de bonne femme pathétique, déchira l’écho de son cri. Elle pleurait la vile, déversait des larmes sur la vision grotesque de son futur lit de mort. Ce tapis, cette peau d’ours, serait le linceul recouvrant son cadavre abimé. Egorgée et récompensée de ses semences malsaines qu’elle avait cultivées en lui. Lui, il serait le premier spectateur à cette anesthésie frivole. A ce décès tragique aux yeux des servantes...Il serait le Brutus de ces lieux. L’Erostate ayant blasphémé la reine de ces terres. Mais elle pleurait la vile...elle pleurait toujours. Il se dit que c’était ordinaire de voir les femmes dévastées...que c’était dans leur profonde nature de verser des larmes à chaque occasion. Mais elle pleurait...Cette femme. Sa mère. Arrêtez ! hurla-t-il une nouvelle fois, dominant l’étrange silence de la pièce. Arrêtez cela immédiatement ! qui était le plus à plaindre ? Le meurtrier...ou la victime ? Encore fallait-il savoir qui endossait le rôle du tueur et qui de la proie ? Elle secoua sa tête dévoilant la fluidité de ses cheveux bruns, de ces cheveux à l’odeur si familière...gémissant de plus belle. Tu as raison, mon fils. Je n’ai point d’honneur...tue-moi. Que le Destin s’accomplisse...tue-moi...et observe Ton propre sang couler. Ses lèvres se pincèrent...lui qui sut garder la froideur de ses traits intacte, fissura le masque qu’il avait créé avec tant d’attention. Ses paupières fendirent la vision qui l’envahissait. Il n’était plus rien. Plus rien. Seulement le chaos berné par l’hypocrisie d’un Dieu. La chaleur de son corps gracieux avait craquelé la glace de son visage. Et il en avait besoin...Il avait besoin de cette chaleur...de la sienne. Enfouissant avec une lenteur lascive, sa figure torturée dans la nuque enflammée de sa mère, dans le velours de sa chair tant de fois baisers de ses lèvres de morveux, il se perdit dans son propre esprit. Arrête... il ne sut que susurrait ce dernier supplice, avant de ne s’écrouler à genoux laissant tomber son arme. Il ne pouvait plus. Plus maintenant. Plus ainsi. Se retournant en un mouvement plus sûr, laissant le bruissement de ses étoffes régaler sa vanité, elle observa longuement son fils. Son ennemi le plus désiré, l’ennemi bienvenu dans cette chambre, royaume de sa solitude. Il était là, le martyr, ayant succombé à sa raison d’humain. Oubliant sa nature de sorcier. L’impératrice restait immobile, tel le pommier d’Eden, tel la maladie fauchant la vie d’un animal...elle le toisait, d’un regard supérieur, peint d’amour dévastateur. Mon enfant... Sa main caressa la tête abaissée de son fils, son joyau, embrassant de ses yeux surplombés d’une vaste forêt charbonnée, le trésor qu’elle possédait devant elle. Il était à elle. En sa défaite, il le lui avait prouvé à elle et à sa propre conscience qu’il lui appartenait à elle. Et rien qu’à elle...

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Amara de Landore
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Amortentia : une odeur ambrée et puissante, boisée et résineuse, mystique, narcotique...


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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:24

EPOUSEEEEE Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 4195198919 Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 4195198919
t'es tellement sexy en Angie Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 1033370911

(rip Mimi Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 3834335715 Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 3834335715 )
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Amortentia : une odeur entêtante de feu de bois, de papier brûlé et de cuir.


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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:26

T'es belle et tu vend du rêve ! Et ce début de présentation Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 2162350996 Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 267393714
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Morrìgan de Broerec
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Amortentia : La fragrance d'une forêt de chêne, du vent salé de l'océan et de lanières de cuir.


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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:44

    ELLE EST ENCORE LA ELLE ?! Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 1821273224

    bienvenue sinon What a Face
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Kerrian de Broerec
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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 18:50

“She had never dreamed there could be so much pain in a life when there was nothing physically wrong. She hurt all the time.”
Spoiler:
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Elynore Delacour
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Amortentia : Une odeur bien particulière monte et submerge les narrines d'Elynore. C'est un mélange de l'odeur des chevaux, de la pluie ou plus exactement de la forêt juste avant une averse et une odeur sur laquelle elle n'arrive pas encore à mettre de mot.
Age : 32


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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptySam 8 Nov - 19:36

re bienvenue
tu es trop belle ! J'adore le vava
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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptyDim 9 Nov - 19:14

JOJO L'AFFREUUUUUUUUUUUUUUSE Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 3088878749 je désespérais tellement de voir arriver ce personnage Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 1306070487
Est-ce que Sancie et Thibaud ont toujours leurs places à tes côtés, dans cette folle valse sanguinolente que nous avions imaginée, ma gigi d'amour ? Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 29547231
Puis, est-ce que c'est vraiiiiiiment nécessaire de te souhaiter la bienvenue, ou même un bon courage pour ta fiche ? Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 4265946464 Si ? Okay.
Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité Tumblr_m8usxiCAAU1rt6t92o1_500
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Elvann de Broerec
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Amortentia : L'odeur d'une épée fraîchement aiguisée, une odeur parfois épicée ou un parfum de la nature qui envoûte ses narines.


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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptyLun 10 Nov - 0:47

Camarade méxicaine poilue, rebienvenue Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 4265946464
Aussi bonne en blonde qu'en brune Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 0LPBrMS
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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité EmptyLun 10 Nov - 15:24

Je n'ai jamais été fan d'Angelina, mais ton personnage va complètement me faire changer d'idée, je pense I love you
Bienvenue donc sur le forum et bonne rédaction Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité 2162350996
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MessageSujet: Re: Καλεπα τα Καλά ⚜ la fatalité   Καλεπα τα Καλά  ⚜ la fatalité Empty

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