QUELLE IMPORTANCE ACCORDEZ-VOUS A L'ASCENDANCES DES SORCIERS, AU STATUT DU SANG ? A une époque encore, il avait une certaine importance. Non pas jusqu'à le faire cracher sur ceux qui ont le sang vagabond, loin de là, seulement que concernant sa famille il était impossible de salir le leur. Et pourtant, il l'a fait à sa manière en bafouant les principes du mariage, de l'alliance entre deux maisons fortunées - l'une plus que l'autre, évidemment. Alors depuis qu'Adam est coincé dans une maisonnette dans la forêt, il a fini par oublier que dans ses veines coule la pureté d'une bourgeoisie noble lointaine, il ne sait plus tellement qui il est, se perd dans sa propre identité. Si encore au moins il était de Roye, il n'est plus pourtant qu'un simple prénom flottant dans l'air, se heurtant parfois à la cime des arbres pour lui rappeler qu'il est au moins présent dans la forêt de Brocéliande. Il n'est plus personne pour juger, seulement un confectionneur, parfois partisan de la mort, priant des Dieux qui eux au moins sont capables de lui accorder le pardon.
QUE PENSEZ-VOUS DES MOLDUS, DE LA CHASSE AUX SORCIÈRES ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
N'oubliez pas que c'est une époque sombre où la chasse aux sorcières est présente. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

AVIEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DU CERCLE DE PRYTWEN ? QU'EN PENSEZ-VOUS ? Rendez-vous par-là pour en connaitre le rôle de cette secte. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

QUE PENSEZ-VOUS D'HONORENSE DE TREVEC ? REMPLIE-T-ELLE BIEN SON RÔLE DE DIRECTRICE ? Rendez-vous ici-même pour en connaitre un peu plus sur Honorense. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum. Répondre ici en quelques lignes, en essayant de développer votre réponse un maximum.

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Racontez ici l'histoire de votre personnage. De sa naissance à aujourd'hui, en 600 mots minimum. Vous pouvez utiliser la forme que vous souhaitez, que ce soit des anecdotes, une chronologie, sous forme de journal, de correspondances ou des témoignages extérieurs.


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Intérieurement il demande pardon. Il demande pardon aux principes qu'il vient de tâcher, il demande pardon aux péchés qu'il n'a de cesse de commettre, il demande pardon pour les yeux rieurs qui regardent à travers les murs épais, il demande pardon et pourtant le regret n'est pas établi en son coeur à peine né. Il a le sourire aux lèvres, il le voit là, plus loin, lui et son sourire de buveur heureux, lui et ses yeux brûlant d'une étincelle piquée d'un désir de continuer à respirer. Il aime le regarder, Galahad, sans qu'il le voit, trop occupé à faire semblant de s'intéresser à ce qu'on lui raconte. Un verre à la main il recherche quelqu'un, quelque chose, peut-être lui ou peut-être une autre. La mécanique débraillée à l'instar d'un cheval blessé, il est devenu coutume dans cette grande famille d'organiser des banquets - tant pour faire envie que pour ramener de la populace à leur cause - et l'âme à la fête n'y est pas, n'y est plus. Parce que ses pensées s'envolent ailleurs, vers des vices cachés honteux à murmurer. Le fiancé, le futur marié, le futur père de ses neveux ou nièces, le quelqu'un qui en deviendra un autre, mais aussi le gardien de ses secrets. Il a la clef le glorieux gendre, il la garde, la fait teinter si délicatement que seul Adam est capable d'en percer les notes qui font frémir sa peau jusqu'à son échine. Il n'est ni demandé, ni obligé, il est là, errant un peu, souriant parfois pour le bon plaisir et pour les apparences qui ont dès lors trop d'importance. Enfin, il croise sa porte ouverte vers son âme, elle est noire, elle est brune, semblable à des démons qui ne peuvent s'empêcher de rêver. Arquant un sourcil, c'est un rictus de coin qui déforme ses lippes à peine imprégnées du vin qu'il vient d'avaler. Son attention est sienne, il la manipule comme on jouerait d'une épée en bois, avec un manque de justesse au départ, pourtant à force de s'entraîner une cadence régulière en sort, des mouvements précis, presque une danse pour les plus poétiques. Pinçant sa lèvre inférieure, le cadet de Roye jette une oeillade discrète à son aînée Cordelia qui pendue au cou de son promis ne souhaite plus rater une miette de ses réactions quant à ce qu'elle peut bien lui conter. La musique tonne d'un côté, délicate, il n'en retient que des bourdonnements sonores qui ne veulent plus rien dire et ils se soutiennent dans cette même manière qu'ils ont de le faire lorsqu'ils se retrouvent, et ils sont ailleurs, quelque part dans des limbes où leurs corps s'entrechoquent encore. Inspirant profondément, c'est en sentant le temps s'étirer qu'il se décide à faire quelques pas tout en donnant une fois ou deux un signe de tête à ceux qui souhaitent discuter en sa compagnie - plus tard, ils attendront, même si pour eux quelques secondes ça ne signifie pas grand-chose, même si Adam ne connaît en aucun cas la valeur d'un instant. Une fois l'épouse à en devenir arrachée à son aimé par une autre convive, il peut enfin lui faire face, l'estomac tordu et une chaleur bouillant ses veines. « Son épopée a dû être passionnante pour que tu n'oses pas la couper dans ses dires. Je suis curieux de savoir ce qu'il en est. » Qu'il agrémente d'un petit rire sec de gorge alors que ses prunelles s'attardent sur le visage de son interlocuteur. Ses joues sont rouges d'une liqueur bonne pour l'oubli et la déraison, elles chauffent et bon nombre de fois ses doigts ont pu les frôler. Mais, pas maintenant, pas tout de suite, pas devant la foule qui saurait les condamner pour manquement à cette bienséance qu'il respectait à outrance alors qu'il était aussi haut que trois petites pommes. «  Je t'ai connu beaucoup plus enclin à écourter les conversations, que je sache. » Sous-entendu dépassant sa barbe de trois jours, il n'arrive plus à s'arrêter de retracer ses traits dans son esprit. Comme si un beau matin il n'allait plus savoir qui avait pu le rendre ainsi, comme si un beau soir il allait ressentir ce néant dans lequel il se fait happer de manière progressive. Inspirant profondément, Galahad garde son éternel sourire communicatif qui lui sied si bien et l'énerve à foison à la fois, il se penche d'un côté, le cerne de haut en bas bien que son esprit soit embrumé par les affres des plaisirs banalisés. «  Sache que ta sœur est une femme passionnante, ses histoires me tiennent en haleine du début à la fin. » uc.


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