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 « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »

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Arnaud de la Tresson
La puissance du loup
Arnaud de la Tresson

Parchemins : 29
Pseudo : BeLie
Avatar : Ben Barnes
Disponibilité : Totale 0/3
Amortentia : Une odeur de feu de bois, de neige fraîchement tombée et de framboise.


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MessageSujet: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 10:37

Arnaud de la Tresson

TA NAISSANCE NE PEUT DÉCIDER DE TON AVENIR
NOM DE FAMILLE: Je porte le nom de celui qui a fait de moi son fils par adoption : de la Tresson. Mais lors de ma naissance, j'étais un Pelletier. PRÉNOM(S): C'est sans doute la seule chose qui me reste de mes parents : Arnaud. Pourquoi s'encombrer d'un second ? ÂGE: Vingt-cinq ans cette année. LIEU DE NAISSANCE: Je me souviens d'une minuscule chaumière dans un village dont je ne me souviens pas du nom. CLASSE SOCIALE: Je suis né pauvre, pris sous l'aile d'un gentilhomme, il me fit accéder au rang de noble.ASCENDANCE: Aucun de mes parents n'avait de pouvoir, des moldus. SITUATION MARITALE: Célibataire, au grand damne de mon père, il semblerait que je sois destiné à vivre et mourir seul. DEMEURE: C'est la demeure de Lancelot qui m’accueillît lors de mon arrivée. BAGUETTE: Faite de bois de Saule, elle renferme en son sein un crin de licorne, d'une longueur de trente-et-un centimètres elle reste maniable bien que peu flexible. PATRONUS: D'une lumière éclatante, il est et a toujours été incorporel, aucune silhouette n'y est décelable bien qu'il soit tout aussi puissant qu'un autre. EPOUVANTARD: Des haillons pour vêtements, le regard de pitié ou moqueur des autres sur moi. Voilà la chose la plus terrifiante à mes yeux, que l'on se rende compte du milieu auquel j'appartenais à ma naissance. PARTICULARITÉ SPÉCIALE: aucune.
Le miroir de Viviane
Quoi qu'il puisse se passer, en toute circonstances, je ne parle jamais de mon enfance. Premièrement parce que je ne m'en souviens que très peu, deuxièmement parce que les souvenirs que j'en ai sont les plus tristes de mon histoire et pour finir parce que je ne souhaite pas que les gens sachent qui j'étais, comment j'ai grandit et ce que j'ai affronté. La pitié me dégoûte et je refuse de la voir dans les yeux des personnes qui disent être proches de moi. Depuis mon adoption par Barthélémy de la Tresson, je me fais passer pour son fils de sang, je prétends donc avoir un sang pur, être né de la grande bourgeoisie et avoir toujours eu une vie facile. Je ne suis encore fiancé à aucune jeune fille. Il va sans dire qu'un mariage avec une fille de bonne famille serait une aubaine pour moi et me permettrai de garder secrète mon ascendance ; mais je ne peux me résoudre à épouser quelqu'un qui ignorerait tout de mon passé. C'est pourquoi je me suis résigné à vivre et mourir seul. Je n'ai appris les bonnes manières que tardivement, en compagnie de mon père adoptif, c'est pourquoi il arrive lorsque je m'emporte que mes anciennes habitudes reprennent le dessus, lorsque je m'énerve mon enfance paysanne se réveille et mon langage change du tout au tout. Du fait de mes origines, je ne supporte pas les injustices, ni même que l'on se moque des paysans. Je suis capable de prendre la défense de quelqu'un que je jugerai en difficulté ou injustement accusé. Ayant appris à lire durant ma dixième année, je reste insatiable. J'ai besoin de lire tous les ouvrages que j’aperçois, j'ai soif de connaissance et je pense qu'on n'en sait jamais assez et qu'en chaque jour recèle une leçon.

Sous la cape de Merlin
QUELLE IMPORTANCE ACCORDEZ-VOUS A L'ASCENDANCES DES SORCIERS, AU STATUT DU SANG ? Il est bien difficile pour moi de répondre à cette question, j'aimerai dire que le sang n'a pas d'importance, que peu importe les origines tous les sorciers se valent. Mais en réalité les sang-purs et les sang mêlés ne seront jamais sur un pied d'égalité. Quant aux nés-moldus comme moi, autant dire que nous sommes plus bas que terre. C'est pourquoi je fais mon maximum pour être meilleur que les autres, que j'étudie plus longtemps. Pour qu'un jour peut être les nés moldus soient reconnus au moins au niveau des sang-mêlés.

QUE PENSEZ-VOUS DES MOLDUS, DE LA CHASSE AUX SORCIÈRES ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
Il serait stupide de ne pas prendre la menace moldue au sérieux. La peur est un leitmotiv qu'il ne faut pas négliger. La chasse aux sorcières est motivée par l’ignorance et tant que le monde ignorera nos véritables pouvoirs et nos intentions, cette chasse ne cessera pas. Je comprends qu'on doive se cacher mais comment faire réfléchir quelqu'un s'il n'a pas toutes les cartes en main ?

AVIEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DU CERCLE DE PRYTWEN ? QU'EN PENSEZ-VOUS ? Jusqu'à ce jour où le sang coula, je n'avais jamais entendu parler du cercle et rien de surprenant là dedans lorsqu'on sait que je prends parfois la défense des nés-moldus ou des sangs-mêlés.  Et ce qui rend ce cercle encore plus dangereux c'est que je ne dois pas être le seul dans ce cas. Si personne ne sait qui en fait partie, comment le détruire ? Chacun devient une cible potentielle et il est plus que vital pour moi de continuer à me faire passer pour un sang-pur.

QUE PENSEZ-VOUS D'HONORENSE DE TREVEC ? REMPLIE-T-ELLE BIEN SON RÔLE DE DIRECTRICE ? Il est incroyable qu'une femme soit arrivée à ce rang, incroyable mais logique dans le fond. Nombreuses sorcières sont aussi voir plus puissantes que certain sorciers et elle n'a pas démérité pour en arriver là où elle en est. Elle est pour moi une très bonne directrice qui permet à ses élèves d'exploiter et de développer leurs capacités.

Spoiler:
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Arnaud de la Tresson
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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 10:38

L'élévation par l'esprit

c'est à force de souffrances que l'homme se construit.




« kiss my eyes and lay me to sleep »


Je me tenais debout, impassible. Devant moi s’étendaient les terres d'Armorique, mais à mes pieds, la terre fraîchement retournée ne pouvait mentir. Vêtu de haillons je venais de vivre la deuxième pire journée de ma vie. Du haut de mes sept ans je comprenais que la vie n’avait qu’un seul but : la mort. Le cœur dans un étau, les larmes me montaient aux yeux, un cri inaudible me perçait les tympans. Il me fallut quelques minutes pour me rendre compte qu’il s’agissait de ma propre voix, en mon fort intérieur je hurlais. Le teint blafard, les poings serrés j’entendais au loin l’agitation dans le château. Ces gens si bien nés se moquaient bien de ce qu'il pouvait se passer chez les paysans. Je sentis une chaleur s’étendre de ma main gauche jusqu’à ma poitrine. Je tournais la tête vers cette main qui enserrait la mienne, chimère … Remontant vers le visage de cette âme égarée, je voyais pour la dernière fois le visage souriant de ma mère. Au fur et à mesure que je la regardais mon visage se crispait et mes larmes que j’avais contenues coulaient désormais comme un torrent de douleur. « Pourquoi ? … » Ma voix se vrilla et ma gorge se serra. Que devais-je attendre d’un esprit torturé ? Son sourire ne réussit pas à me réconforter, cet adieu était encore plus douloureux que le précédent. En cet instant j’aurai voulu qu'elle me prenne dans ses bras et que plus jamais elle ne me relâche. Mais alors que ma bouche s’ouvrait pour prononcer un mot, elle disparut en une fumée argentée ne laissant plus que la trace de son sourire dans la brume armoricaine. Le souffle coupé, je m’écroulais à genou, dans l’herbe humide. Plus de barrage, plus de colère ni même de force, j’hurlais ma peine et mon désespoir de ces vies interrompues trop tôt. Je pleurais ma famille.

La main du prêtre se posa furtivement sur mon épaule, se voulant réconfortante elle ne fit qu'augmenter ma peine. Son soupir en disait long, encore de pauvres paysans morts d'une maladie pour laquelle aucun remède n'existait et bien entendu j'étais potentiellement contaminé, ce qui excluait mon placement dans l'orphelinat du village. Quel avenir s'offrait à moi désormais ? Mes parents et mes deux jeunes sœurs venaient de périr, je me retrouvais seul et bientôt chassé par les autres villageois qui me considéreraient comme un pestiféré. Il fallait que je disparaisse.

Cela faisait maintenant des jours, peut-être des semaines que j'errais sur les routes de France, j'ignorais où mes pas m'avaient menés, dans quelle contrée, avais-je même quitté l'Armorique ? Mon corps las, mes jambes peinaient à me porter et mes pieds traînaient dans la poussière qui tapissaient les routes trop souvent labourées par les chevaux lourdement harnachés. Le sommeil semblait m'entourer tel des draps doux et réconfortants. Sans même y prêter attention mon visage heurta violemment le sol, l'épuisement venait de me faire trébucher devant les regards indifférents des badauds. Mes paupières si lourdes, la soif insoutenable et la faim me tiraillant le ventre. Je priais alors pour que l'on abrège mon existence, après tout je n'étais plus personne et plus personne ne tenait à moi. Mais dans un dernier soupire, un dernier regain d'espoir, j'espérais m'étendre sur une couche moelleuse, bien au chaud avec de l'eau et de la nourriture. J'espérais pouvoir mourir dignement. Et sans pouvoir expliquer comment en un battement de cils je me retrouvais dans une écurie, couché dans la paille, contre une jument dont le souffle chaud expulsé par ses nasaux me réchauffa le corps et l'âme. En un second battement de cil je remerciais la providence et m'endormais sans me soucier de rien.


« raise me up, take me to the light. »


Le souffle haletant, le poignet dans un étau, je faisais alors tomber le maigre butin de la journée. Colère et peur se mêlaient, j'essayais de me dégager mais son étreinte était trop forte. J'abandonnais là la bourse d'un noble qui n'avait que trop de richesses. Mes mains fines, ma petite taille et mon jeune âge me mettait au-dessus de tout soupçon et pourtant je m'évertuais à voler la ferraille qui encombrait les "honnêtes gens" comme ils s'appelaient entre eux. Quelques pièces d'argent, parfois une ou deux pièces d'or et je parvenais à me nourrir durant plusieurs jours. J'avais, au début, volé les commerçants mais comprenant qu'ils étaient pour la plupart tout aussi pauvre que l'étaient mes défunts parents, je décidais de m'attaquer à ceux qui venaient dépenser leur argent en nouvelles toilettes et nourriture de qualité. Après plusieurs années de cette vie, je pensais mon avenir déterminé et pourtant il semblait que j'avais tort. Son regard d'acier perça le mien et se propagea aux tréfonds de mon âme me faisant frissonner. « Par Merlin ! Comment oses-tu ? » Sa voix sombre résonna dans mon esprit, cet homme encapuchonné de noir me terrifia. Dans un dernier sursaut de force je réussis à me dégager de son emprise et pris la fuite aussi vite que mes frêles jambes me le permirent. Et alors que je pensais m'être débarrassé de lui, regardant derrière moi pour m'en assurer, je me heurtais à lui. Comment avait-il fait pour savoir où j'allais ? Je l'ignorais moi-même et comment avait-il fait pour s'y rendre si vite ? « Veux-tu manger à ta faim tous les jours et dormir dans un lit convenable ? » Perdu je ne savais que répondre, pourquoi me demandait-il cela ? Toujours effrayé par cet homme, un pré-sentiment me poussa à lui répondre. « Comme tout l'monde,  nan ? Mais à cause d'vous les riches vont s'méfier d'moi maint'nant. » Je voyais son visage grimacer à chacun de mes mots comme si le simple fait de m'entendre lui était insupportable. Et pourtant sa voix se fit plus douce, elle semblait presque réconfortante, comme le chant des sirènes attirant les marins à leur perte. Et son visage se détendit, souriait-il ? « Je peux t'aider à développer tes dons, si tu acceptes mon aide tu deviendra un sorcier très puissant. » Sorcier ? De quoi parlait-il ? Mon silence et l'incompréhension sur mon visage fut sans doute des plus éloquents car sans même attendre une réponse de ma part il posa sa main sur mon épaule et en une fraction de seconde nous nous retrouvâmes dans une demeure cossue.

Debout devant cette baie vitrée, j'observe le jardin qui s'étend devant la maison. Quelques rares boutons se dévoilent dans la neige si bien ancrée au sol. L'hiver fut si rude que certains pensaient qu'il ne finirait jamais. Voilà maintenant six mois que je vis ici, six mois que Monsieur de la Tresson s'occupait de moi, qu'il m'éduquait et qu'il me demandait de l'appeler père, mais un père j'en avais déjà eu un. Il m'arrivait encore de me demander pourquoi il m'avait choisi et comment il avait deviné que j'étais un sorcier, maintenant c'était une évidence mais à l'époque, j'ignorais tout de ce monde si bien caché. Il m'avait pris sous son aile, m'avait habillé avec des apparats dont je n'aurai pas même osé rêver, il m'avait également offert une baguette, premier symbole de mon appartenance au monde magique. Depuis quatre années que mes parents et mes deux jeunes sœurs avaient trouvé la mort, c'était sans doute la première fois que je me sentais véritablement à ma place.  

Allongé négligemment sur cette causeuse, j'entends ses pas marteler le sol, il approche. Mordant dans une friandise je n'ai pas le temps de laisser mon esprit divaguer que déjà les portes s'ouvrent en un fracas. « Arnaud ! Comment oses-tu te prélasser ainsi ? C’est la troisième cette semaine et nous ne sommes que mardi ! » Je laissais alors échapper un profond soupir qui ne faisait qu'accentuer son mécontentement. Je savais tout ce que je lui devais, je savais que si aujourd'hui je venais atteindre l'âge de vingt-cinq ans c'était grâce à sa bonté mais je ne pouvais me résigner à prendre épouse. « Elle me plaisait pas, vous avez vu ses mains ? C'est pas des mains de bourgeoise. » « Les négations Arnaud ! Que t'ai-je dont appris durant toutes ses années ? Ai-je prêché dans le vide ? Et il est inconvenant d'utiliser le qualificatif de bourgeoise. De plus est-il utile de te rappeler d'où tu viens ? » Je devais bien reconnaître que cette histoire de mains n'était qu'un prétexte et il me fallait être digne du nom que je portais désormais, je n'étais plus un Pelletier mais bien un de la Tresson et ce pour toujours désormais. Je me relevais alors, tirais légèrement sur mon gilet et réajustais ma chemise immaculée. « Je vous prie de m'excuser père. Elle ne me plaisait pas, je ne peux me résoudre à épouser une jeune fille pour laquelle je ne ressentirais rien et puis elle n'avait que quinze ans. Est-ce vraiment cela que vous souhaitez pour moi père ? Épouser une jouvencelle ignorant tout de la réalité du monde ?  » Je sentais que je venais de marquer des points, il avait toujours tout fait pour mon bonheur, sans rien demander en retour si ce n'était de le considérer comme mon père et de le traiter comme tel, ce que j'avais finis par faire avec le temps. Son regard se détourna et se dirigea vers la fenêtre, il observa la prétendante numéro trois de la semaine partir avec ses parents visiblement indignés qu'on les traite de cette façon. Je sentis ses épaules fléchir un court moment, ce colosse qui m'avait recueilli avait-il finalement des failles ? Bien entendu il ne serait pas éternel mais avant cet instant il ne m'était jamais venu à l'idée que sa présence auprès de moi serait sans doute éphémère. J'aurais voulu lui témoigner une preuve d'amour ou du moins de gratitude mais dans les grandes familles ce n'est pas convenable. Alors pour simple témoignage je déclarai : « Je sais ce que je vous dois père. Et prendrais pour femme celle que vous choisirez pour moi. » Reprenant sa place de représentant de la famille de la Tresson, il se tourna vers moi. « N'en parlons plus. Il est temps de préparer ton départ pour Ornebois. » A peine eut-il fini sa phrase que déjà il quittait le salon pour son bureau. Il était temps en effet de finir mes bagages qui me ramenaient à l'école, là où tous pensaient avoir à faire à un sang-pur et non à un sang-de-bourbe, là où je peux exercer ma magie et prouver au monde que je n'ai pas volé ma place parmi les sorciers les plus talentueux de notre époque.
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Elynore Delacour
La grâce du cygne
Elynore Delacour

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Amortentia : Une odeur bien particulière monte et submerge les narrines d'Elynore. C'est un mélange de l'odeur des chevaux, de la pluie ou plus exactement de la forêt juste avant une averse et une odeur sur laquelle elle n'arrive pas encore à mettre de mot.
Age : 32


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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 10:47

Nonooooo contente de te revoir !:-)
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Almarian de Broerec
La grâce du cygne
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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 10:48

Bon retour parmi nous « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  2703283052 I love you I love you
Tu connais la chanson, héhé. Et cette fois on trouve un lien « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  2274892466
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Arnaud de la Tresson
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    Ely « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  3364749855 bien contente d'être revenue. Smile
    Floflo « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  3518193191 y a plutôt intérêt qu'on se trouve un lien Wink
    Merci.



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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 11:06

Ben Barnes « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  2970932275
Bienvenue parmi nous, réserve-moi un lien « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  3364749855
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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 11:08




    Avec plaisir Théo Wink
    merci.


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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  EmptyLun 10 Nov - 11:36

Félicitations !

tu es désormais validé(e) !
I love you toujours aussi plaisant de te lire. Et Arnaud « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  3115614917 avec tout ce qu'il se passe du côté du Cercle, ça promet du bon futur !



Tu peux à présent poster dans toutes les parties du forum ! Mais avant ça, n'oublies pas d'aller recenser ton avatar ici-même si ce n'est pas déjà fait ! Ensuite, nous t'invitons à te rendre dans la malle aux sortilèges, afin que tu puisses recenser ton patronus et ton métier (si tu en as bien sûr ). Bien entendu, tu pourras également ouvrir un nouveau sujet dans les carnets de liens, afin que tu puisses commencer à te faire des amis ou des ennemis (à toi de voir ) et prévoir tous tes RP ! Autre lien utile si tu as décidé de créer une nouvelle grande famille de sorciers, tu peux te rendre ici afin d'en faire un récapitulatif, d'y inclure toutes les informations que tu souhaites et qui sait, peut être qu'un potentiel prochain membre viendra en agrandir les rangs ? Pour finir, on te donne rendez-vous dans la partie hors jeu, lieu où tu pourras flooder comme un fou et ainsi, rencontrer les autres membres ! « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  1033370911

Allez c'est parti, nous te souhaitons bon jeu et nous espérons que tu passeras un agréable moment parmi nous ! I love you
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MessageSujet: Re: « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »    « Tu peux tout apprendre, la politesse, l'éducation, les manières ; mais la bonté est innée. »  Empty

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