QUELLE IMPORTANCE ACCORDEZ-VOUS A L'ASCENDANCES DES SORCIERS, AU STATUT DU SANG ? Dans notre famille, comme dans beaucoup de famille sang-pur, l'importance du sang est presque primordial. En ce qui me concerne, le sang à également une valeur importante. Comme un titre de noblesse. Les sang-pur. Puis les sang mêlés. Et enfin les nés moldus. Malgré tout, je pense que chaque Hommes prouvent sa valeur par ses actions, mais les faits nous montrent souvent que ceux qui possèdent la noblesse du sang font de bien plus belles actions que les autres. Il est vrai que naturellement, je fréquente plus de sang-pur que les autres types de sang. Pour autant, cela n'a rien à voir avec un mépris de ma part. Non. J'ai juste plus d'affinité avec les miens.

QUE PENSEZ-VOUS DES MOLDUS, DE LA CHASSE AUX SORCIÈRES ? LES CRAIGNEZ-VOUS ?
De manière générale, je n'est absolument rien contre les moldus. Les pauvres, ils sont venus dans ce monde sans le moindre pouvoir magique, cela est dramatique pour eux. En revanche, la chasse aux sorcières m'inquiète réellement, nous même ne chassons pas les sans pouvoirs. Je crains, non pas pour ma vie, mais pour celle des gens que j'aime profondément. Il serait stupide et naïf de ne pas craindre ses Hommes et leurs actions. Pour ma part, je préfère être prudent quant à chaque interaction possible en présence de moldus. Pour autant, les jeunes générations sont à l'abri au sein de l'école et, je l'espère toujours, que les autres ont l'expérience nécessaire ainsi que la prudence pour se protéger.

AVIEZ-VOUS DÉJÀ ENTENDU PARLER DU CERCLE DE PRYTWEN ? QU'EN PENSEZ-VOUS ? Comme chacun, j'ai entendu parlait du cercle de Prytwen et comme un bons nombres de personnes, j'étais présent lors du saccage, de la souillure de notre école. J'avoue ne pas comprendre cette attaque, j'avoue ne pas savoir pourquoi des Hommes, des sorciers, ont agit de la sorte. Des rumeurs encore et toujours. Des sorciers qui recherchent la vengeance pour les leurs. Des hommes et des femmes pleins de haine, de rage et de colère. Finalement, ce n'est qu'un cercle vicieux. Les moldus brûlent les sorciers. Les sorciers tuent les moldus. La vengeance. La haine. La mort. Voici tout ce qui ressortira de cette situation. Et peut-être même pire, une guerre.

QUE PENSEZ-VOUS D'HONORENSE DE TREVEC ? REMPLIE-T-ELLE BIEN SON RÔLE DE DIRECTRICE ? Lady de Trevec est une sorcière puissante, nul besoin de prétendre le contraire, ses exploits parlent d'eux-même. Je la respect sincèrement à la fois en tant que sorcière, que directrice, mais également en tant que femme. A mes yeux, elle remplit correctement son rôle de directrice, à la fois autoritaire et juste, stricte et à l'écoute de ses élèves. Certes, tout le monde n'est pas d'accord avec sa manière de diriger l'établissement scolaire, mais elle correspond parfaitement à mes attentes en tant qu'élève de cette école.

Mother & Father

Cela faisait un jour et une nuit que Lady Eudoxie de Boischenel, femme de Bérard de Boischenel se trouvait alité. La venue au monde du premier héritier, une bénédiction des dieux. Lord Bérard faisait les cent pas, impatient de voir son fils. Il en était certain, son premier né serait un fils, son héritier. "Encore combien de temps ?" Impatient. Il tentait de garder son calme, tel l'homme de caractère qu'il était, le médicomage choisi une réponse évasive. "L'enfant viendra quand il sera temps Lord de Boischenel." La future mère étouffa un cri. "C'est le moment. Je crois que c'est le moment." Ni Lord de Boischenel, ni sa Dame ne sûre pas combien de temps au juste la venue au monde de leur premier enfant dura. Pourtant, au bout de ce qui sembla être une éternité, le médicomage eu l'une des plus belles paroles qu'on puisse avoir pour un père. "Je vous présente votre premier né Lord Boischenel. Voici votre fils." "Il est parfait. Soit le bienvenue dans ce monde Tristan de Boischenel, mon fils." Le nourrisson pleurait et criait, il bougeait dans tous les sens. "Cet enfant réclame sa mère." A peine fut il sûr le ventre de cette dernière que l'enfant ce calma et téta doucement le sein de celle qui venait de passer des heures à le mettre au monde.

Brother & Sister

Les années qui suivirent vu naître tour à tour Isarn, deux années après la naissance de son frère aîné et Météra la seule fille de cette famille, sept ans après le premier enfant de Boischenel. Les jeux et l’insouciance de l'enfance prirent fin lorsque son père, Lord de Boischenel prit en main son éducation afin de faire de lui le digne héritier de la maison de Boischenel. Ce fut des moments difficiles, mais aussi des moments de véritable bonheur. Des périodes qu'il estime privilégier avec son père. Cette période créer un éloignement entre les enfants de Boischenel, bien que Tristan arrive à rester proche de la jeune Météra, il s'éloigne de son petit frère et de même n'apprend pas à connaître le pupille de son père Léandre de Morlhon.

Soon Husband & Wife

"Ton père souhaite te voir Tristan. Il t'attend à côté des écuries." Le jeune homme s'inclina légèrement face à sa mère en signe de respect. "Merci, mère." Le jeune homme ne mit pas beaucoup de temps à rejoindre son père. Celui-ci l'attendait déjà à cheval, Celeris, la monture de Tristan était déjà prête. C'est en silence qu'ils parcoururent les premiers kilomètres les éloignant de la demeure familiale. Finalement, Bérard fini par prendre la parole. "J'imagine que tu ne te rappelles pas, mais il y a très longtemps j'ai fait une promesse à la famille de Nouhes. Tu connais cette promesse ?" Tristan n'avait nul besoin de précision. "Cela concerne mes fiançailles avec leur fille, Mélie." Deux fils et une fille. Trois mariages. Tristan avec une fille de Nouhes, Isarn avec Eudoxie de Chassenay et enfin la benjamine de la famille avec le pupille de Bérard, Léandre de Morlhon. "As-tu l'occasion de voir cette jeune demoiselle à Ornebois ?" La jeune femme avait deux ans de moins que lui. Une excuse peut-être ? Oui, certainement puisqu'il prenait le temps de voir des élèves plus jeunes que lui. "Pas vraiment père. Mélie est une jeune femme discrète, mais fort charmante." Que dire d'autres de cette jeune femme ? Elle ferait certainement une épouse formidable et une mère responsable et aimante pour de futurs enfants. "Prochainement, tu feras plus ample connaissance avec elle. Tu feras tout ce qu'un gentil homme fait en présence de sa dame. De sa fiancée." Il était évident que Lord Boischenel voulait une réponse. "Bien père." Ce fut les seuls mots qu'il prononça. Remarquant le trouble de son fils, Lord de Boischenel stoppa sa monture. "Vois-tu mon fils, lorsque mon père me présenta à ta mère, nous étions déjà fiancé l'un à l'autre. Au fur et à mesure du temps, la tendresse que nous éprouvons l'un pour l'autre est devenu... Naturel. Ta mère est une épouse et une mère parfaite, à la hauteur de notre domaine. Mélie sera te faire honneur en toutes circonstance et te feras de beau enfant." Tristan ce mit à réfléchir sérieusement aux paroles de son père. Avait il raison ? Certainement. Son père était un homme bienveillant, réfléchit et de bon conseil. "Soyez certains, père, que je ferai tout pour honorer notre demeure et notre nom." Hésitant, Tristan poursuivi tout de même. "Et maintenant ? Est-ce que vous aimez mère ?" La question était probablement plus personnelle qu'il ne l'avait cru en la posant. Pendant quelques minutes, ils n'entendirent que les bruits de la nature et du bois. "Elle est ma femme et la mère de mes trois enfants. Bien sûre que j'éprouve de la tendresse et de l'amour pour elle. Tu comprendras plus tard." Voilà qui mettait fin à leur conversation. En rentrant au domaine, Tristan se promit de faire des efforts concernant Lady Mélie.

Rumors & Shame

Il ne pouvait pas. Il ne pouvait plus faire comme si de rien n'était. Toutes ces rumeurs le concernant. Concernant son sang et sa place dans la famille de Boischenel. Bâtard. Voilà le nom que certains lui donner derrière son dos. Fils illégitime de Richard de Systrières. La rumeur dit que ceux dernier aurait user du droit de cuissage après le mariage de ses parents. Une honte. Un bâtard. Un moins que rien. Les rumeurs et les rires derrière son dos. Rarement en face. Il faut dire que la seule fois où cela avait eu lieu avait fini par un duel à la baguette magique. La honte. Ce sentiment qu'il ne le quittait pas. Et même lorsque les gens parlaient et riait pour autres choses, il avait l'impression que cela le concerner. Une insulte ? Un mot ? Un rire ? "Pourquoi ton front est il aussi assombri mon frère ?" Météra, sa petite soeur. L'une des rare personnes à réussir à lui changer les idées. Rien que quelques minutes. Juste pour quelques heures. "Des inquiétudes bien terre à terre qui ne mérite pas de faire perdre le temps d'une dame aussi charmante que toi." Il savait qu'elle savait. Tout le monde savaient. Tout le monde croyaient en ce mensonge. "Je sais qui tu es Tristan. Nul doute que chaque personnes qui te connaisses réellement pense la même chose de toi que ce que moi je pense. Tu es le digne fils de Bérard de Boischenel. Tu es mon frère. Et celui de Isarn." Des paroles dites avec autant de douceur que de détermination. "Météra, ma petite soeur. Fut un temps pas si lointain où c'était moi qu'il te réconfortait et non l'inverse. Je me souviens de ta naissance. De mon serment de prendre soin de ma petite soeur. Ma petite merveille." Tristan savait qu'il était bien plus proche de sa soeur que de son frère. Son frère, que pensait il de cette situation ? Se voyait il héritier des de Boischenel à partir de maintenant ? "Nous sommes une famille." Tristan redressa la tête. Une famille. "C'est ta dernière année ici, ne perds pas ton temps en inquiétude futile." Météra avait raison. Bien sûr. Il s'inclina face à elle et déposa ensuite un léger baisser sur sa joue. "Merci Météra. Pour ta présence. Pour ta noblesse. Pour ton bon coeur."

Forbidden Love

Le cours de duel à l'épée lui avait fait le plus grand bien. Il avait terrasser chaque adversaire, comme s'il tentait de tuer ce mensonge. Il aurait voulu un autre adversaire, mais le cours prenait fin et Tristan tout comme les autres élèves devaient ce rendre dans la salle du repas. "J'ai vu votre combat ou plutôt vos combats Lord de Boischenel. Vos adversaires n'avaient aucune chance." La colère du jeune homme disparu presque entièrement face à la jeune femme devant lui. "Lady de Scorailles, vous m'honorez. J'ignorais tout de votre présence au cours de duel."